Câpre

Ecclésiaste 12 : 5 (version Segond 21) : “C’est l’époque où l’on redoute ce qui est haut, où l’on a des terreurs en chemin, où l’amandier fleurit, où la sauterelle devient lourde et où la câpre n’a plus d’effet, car l’homme s’en va vers son habitation éternelle et les pleureurs parcourent les rues.”

Dans ce passage, dans le Livre de l’Ecclésiaste (ou Qohélet) dans l’Ancien Testament, il est fait mention de la câpre. La câpre était une plante médicinale utilisée à des fins diverses à l’époque biblique.

L’Ecclésiaste est un livre de sagesse qui discute de la nature de la vie, des saisons et des expériences humaines. Cette référence à la câpre se trouve dans le chapitre 12, verset 5. Le texte aborde le vieillissement, la fragilité de la vie et l’approche de la mort.

Le passage utilise des images poétiques et symboliques pour décrire l’âge avancé, où l’homme avance vers son habitation éternelle. La mention de la câpre sans effet peut faire allusion à des herbes ou des médicaments ayant perdu leur efficacité, symbolisant la diminution des facultés à mesure que l’homme vieillit et se dirige vers la fin de sa vie.